Alukagar

Ohé,

nobles voyageurs, jadis on m'appelais, Alexandre Maheu, aujourd'hui c'est Alukagar qu'on me nomme.

Il y a environ quatre siècles, j'étais un jeune mousquetaire avide d'aventure et éperdument fièr du rang social que j'occupais. Assuré la protection de feue Henri de Bourbon, Henri IV, fut un trait marquant de ma vie. Après sa mort en 1610, ce fut sous le commandement de Louis XIII que j'ai terminé mon service dans des circonstances des quelque peu inattendues.

C'est en 1633 que je fus affecté à la protection de Sieur de Champlain. Lors de son dernier voyage en Nouvelle-France. À bord du "e;e;Don de Dieu"e;e; la vie étais des plus paisible, en plus je m'entendais très bien avec Samuel. Nuits après nuits, nous parlions de tout et de rien. Selon lui il allait mourir pendant ce voyage, moi je m'époumonais à lui répéter qu'il était entre bonne mains, avec moi. Frappé de paralysie il mourut le 25 décembre 1635.

Après la mort affreuse du gouverneur de Champlain on me rappela au pays, afin que je termine mon service. Mais moi, j'avais amis (es) et une merveilleuse épouse ici bas, donc j'ai due m'enfuir avec Louise, ma tendre épouse, aussi loin que l'on puent.

Quinze ans on passé, ma femme mourut d'une pneumonie. À ses funérailles j'étais au bord du désespoir. Alors, j'ai décidé de finir mes vieux jours non loin de Québec.

Cepandant, par une belle nuit de mai, je fus attaqué par une chose qui m'apparaissait comme un immense loup, mais... Après mon attaque si brutal, je fus amené chez un docteur. Jour après jour, j'avais du mal à tolérer la nourriture, un grand someil qui s'éveillait en moi et même mes plaies avaient tout disparues sans aucune cicatrice. De nombreux médecins que je suis allé consulter étaient tous dans le brouillard. Avant qu'on me juge comme supos de Satan j'ai décidé de m'enfuir de nouveau. Au petit matin, je me suis retrouvé nu et avec un goût de fer dans la bouche, non loin de ma cachette. J'ai dû me voler de nouveaux vêtements. En plus, la seule nourriture que j'arrivais à ingérer était la chaire crue des animaux trouvés ici et là. "e;e;Un vrais monstre, que je pensais."e;e;

Un mois plus tard, une femme ce présenta à moi et commancea à me raconter une histoire qui sortait de l'ordinaire. À son dire, elle m'avait choisi pour que je soie son guide dans ce siècle et qu'elle m'avait fait un don. Ce don obscure, comme elle le nommait, était la faculté de me métamorphoser en un énorme loup bipède. Au début, je la crus folle alliée. En suite, je lui en voulait pour la vie qu'elle m'avait léguée et enfin je l'écoutais attentivement, cet alors qu'elle deveint mon mentor.

Deux cent ans après, je lui dis que je voulais partir de mon côté, elle prit ça assez mal mais ne s'opposa guère à mes projets. Mais avant de partir, elle me mit en garde pour une "e;e;Xième"e;e; fois contre les vampires, c'est êtres ignobles qui gaspillent la nourriture et qui voulaient notre mort à tous.

Près de Cluj-Napoca, en Roumanie, j'ai trouvé une colonie lycanne qui m'a tout de suite accueillit en son sein. Un siècle plus tard, je partis pour mon ancien pays, la Nouvelle-France, maintenant le Canada. C'était bien, bien différent à cette époque. Alors, je me suis rendu à Cluj de nouveau.

Aujourd'hui, j'ère dans ce vaste monde et sur Mars tout en ayant pied à terre dans une région inhabité du Québec. Étant membre actif du syndic Maison Close et future boss de son syndic-école, je gravis les échelons de ma nouvelle vie lycanthrope terraformique. J'ai un rêve ultime et ce rêve ce résume à: Trouver un louve-garou qui voudra bien de moi.

Alukagar.